• Encore une non-décision pour la ferme Nissibart !

    La SAFER ne se prononce pas et reporte une nouvelle fois sa décision.
    Rappelons que celle-ci a parmi ses missions de maintenir les exploitations existantes, d'aider les jeunes à s'installer, de protéger l’environnement.
    L'acquisition sous forme de GFAM offre de réelles garanties pour défendre ces objectifs, un projet d'installation en agroécologie a été chiffré et défendu pour prouver la viabilité de l'exploitation avec ses 22ha, les garanties demandées lors du report précédent ont été fournies...
    À présent il est demandé de prouver que l'installation ne peut être viable avec une surface réduite, la priorité serait-elle avant tout donnée aux agrandissements ?!
    Tout cela manque de clarté et de cohérence.
     
    Il y a de quoi réfléchir et agir ensemble, venez nous soutenir
    samedi 6 décembre au bar Zinka à Mauléon :

     
    En partenariat avec le Comité Français pour la Solidarité Internationale et la plate-forme "Alimenterre" qui œuvrent dans le cadre de cette année internationale de l'agriculture familiale (ONU), nous vous proposons le film documentaire :
     
    "Sans terre, c'est la faim"
    de Amy Miller, 2013, 75'
     
     
    Synopsis:

    A travers trois exemples (Cambodge, Mali, Ouganda), le film explore le revers du phénomène mondial d’investissement foncier et son impact sur l’agriculture familiale. Il donne la parole à des agriculteurs directement touchés par la saisie de leur terre, leurs histoires personnelles se mêlent aux images de communautés qui luttent pour garder leurs terres.

    Bande-annonce et d'infos sur le film:
    http://www.festival-<wbr>alimenterre.org/film/sans-<wbr>terre-c%E2%80%99est-faim</wbr></wbr>


  • Commentaires

    1
    Fanchon
    Vendredi 23 Janvier 2015 à 12:15
    La SAFER a demandé à Robin le BPREA, un PDE (plan de développement d’exploitation sur 5 ans), un stage 21 heures, le PPP, l'accord de la banque (prouvant la viabilité de l'installation). tout, tout, tout a été fourni. Rappelons qu' au niveau national ce parcours d'installation avec ces certifications a été validé, voire construit par et avec les partenaires agricoles et notamment ses syndicats, y compris la FNSEA. Ces outils ne seraient ils pas encore suffisants ou seraient ils désavoués par ceux là même qui les ont mis en place. il faut croire que oui, puisque le PDE réalisé par la chambre d'agriculture et EHLG ne convient pas, l'exploitation ne serait pas viable..... cette ferme était pourtant jugée rentable très officiellement (portage de la région, octroi de la DJA) pour l'installation d'Anicée, en agro tourisme qui plus est. Aujourd'hui, elle ne le serait plus avec des productions classiques pour le terroir local tels que porcs, brebis, céréales, légumes plein champ c'est peut-être pour cela que le comité technique demande une étude sur une surface "réduite" (quelles surfaces? on ne sait pas...), car il est bien connu que les plus petites exploitations sont les plus rentables. c'est à y rien comprendre: les arguments seraient-ils vraiment techniques et pour le bien de Robin, pour qu'il ne se plante pas......le pauvre poète...qui est qualifié d'inexpérimenté. Vous avez dit comité technique ou procès d'intention. Eh oui rappelons nous qu'il y en a qui se sont plantés dans les HCF. Combien de plantage pour combien de réussite? combien de plantage dans les ECF (En cadre familial)? Et le discrédit, voire la diffamation continue, Robin n'entretiendrait pas les 5ha en location par la SAFER!!!merci le contrôle PAC de cet été qui atteste tout le contraire! En avant pour les ragots: Robin, s'il te plait abandonne le vœu de te convertir à la religion musulmane!
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